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jeudi 18 février 2010

Le Procureur de CRETEIL, Jean-Jacques BOSC est-il responsable du meurtre de la mère d'Ibrahima


Un système Maffieux

a-t-il été mis en place au


Tribunal de Grande Instance de CRÉTEIL

Laxisme vis à vis des délinquants

Ventes aux enchères publiques sans titre exécutoire

(SCI DANMARINE)

Une enquête va être ouverte

par le Parquet Populaire suprême

contre le comportement du Procureur Jean-Jacques BOSC

Dès à présent les justiciables demandent la démission

du Procureur Jean-Jaques BOSC




Le Procureur Jean-Jacques BOSC est-il responsable

du meurtre de la mère d'Ibrahima



Deux jours après le meurtre de la mère du petit Ibrahima, la famille de la jeune femme a accusé jeudi la justice d'avoir ignoré plusieurs menaces de mort proférées contre la victime, tandis que le parquet de Créteil a défendu sa "réactivité" dans cette affaire.

La ministre de la Justice, Michèle ALLIOT-MARIE, a par ailleurs ordonné une enquête sur le suivi des mesures de contrôle judiciaire dont était l'objet le père du petit Ibrahima, qui a avoué l'enlèvement de l'enfant et le meurtre de sa mère, retrouvée morte mardi matin à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne).

Selon sa famille, la victime a tenté en vain d'alerter la justice des menaces de mort de son ancien compagnon, dont elle était séparée depuis mai 2009 et avec qui elle avait eu un enfant, Ibrahima, aujourd'hui âgé de 18 mois.

La justice ne l'a pas assez écoutée (...).

Elle se plaignait depuis plus de 6 mois, elle avait déposé de nombreuses mains courantes au commissariat", a dit Oliveira, la soeur de la victime prénommée Tania et âgée de 26 ans, lors d'une conférence de presse.

La famille accuse également la justice de ne pas avoir fait respecter les obligations judiciaires qui visaient le père d'Ibrahima.

"Il avait l'interdiction de résider dans le Val-de-Marne et pourtant tous les jours il venait devant chez mon père, où ma soeur s'était réfugiée, pour la menacer", a encore dit le frère de Tania.

Si la victime avait été entendue, "peut-être qu'aujourd'hui elle serait encore en vie", a avancé une des avocates de la famille, Me Yasmina Mechoucha Robin.

Récusant toute "polémique" avec la famille, le procureur de Créteil Jean-Jacques BOSC a défendu le rôle de ses services. "Il y a eu une réactivité du parquet", a-t-il répondu dans une conférence de presse.

Jusqu'à décembre 2009, une dizaine de mains courantes ont bien été enregistrées au commissariat mais "il n'a pas été déposé de plainte" avant le 4 janvier dernier, a affirmé le procureur Jean-Jacques BOSC, selon lequel la justice n'est alors pas restée inerte.

Le 7 janvier, soit trois jours après cette plainte pour menaces de mort, le père d'Ibrahima, 28 ans, est interpellé et placé en garde à vue, a détaillé le procureur.

Libéré sous contrôle judiciaire, il se voit interdire tout contact avec la plaignante.

Un mois plus tard, le 9 février, ces menaces de mort par SMS et par lettre lui valent d'être condamné à Créteil à quatre mois de prison avec sursis.

L'interdiction d'entrer en contact avec son ex-compagne lui est de nouveau notifiée.

"Cette interdiction a été respectée" et il "n'y a pas eu d'incident" jusqu'au jour du meurtre, a déclaré Monsieur Jean-Jacques BOSC.

Dans une lettre datée du 21 janvier, la victime avait d'ailleurs indiqué qu'elle avait recouvré "une certaine liberté", selon le procureur, aurait-il menti.

Aurait-il fallu placer le suspect en détention provisoire à l'issue de son interpellation ou de son jugement ?

Ce n'est pas ce qui a été décidé (...) ce n'est pas ce qui était demandé par le parquet", a simplement observé Monsieur Jean-Jaques BOSC.

Le procureur a certes reconnu que le suspect vivait chez ses parents à Fontenay-sous-Bois en violation d'un contrôle judiciaire.

Mais "ce point-là ne concerne pas l'affaire du meurtre et est antérieure à la rencontre entre la victime et son ex-compagnon , a-t-il ajouté.

Mis en examen depuis 2006 dans une affaire de viols collectifs datant de 2001-2002, le père d'Ibrahima était soumis depuis 2007 à un contrôle judiciaire qui lui interdisait notamment de résider dans le Val-de-Marne.

Il "ne cachait pas qu'il habitait chez ses parents" mais n'avait pas demandé une modification de son contrôle judiciaire, a souligné le procureur.

Le petit Ibrahima avait été retrouvé mercredi soir en bonne santé et son père interpellé après le déclenchement du plan Alerte Enlèvement.


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